Французский с улыбкой. Сборник анекдотов для начального чтения — страница 30 из 34

).

Le patron n'en croit pas ses yeux (хозяин не верит своим глазам).

— Patron (хозяин), sers donc une gueuze pour moi (принеси-ка пива для меня) et une gueuze pour tous ceux qui sont derrière (и пива для всех тех, кто за спиной).

Le patron le regarde droit dans les yeux (хозяин смотрит прямо ему в глаза) et lui demande d'un air féroce (и спрашивает его со свирепым видом):

— Et moi donc (а я, значит), je ne bois pas (я не пью)?

— Oh non (э, нет)! Toi t'es beaucoup trop méchant (ты слишком злой = становишься слишком злым) quand tu as bu (когда выпьешь).


Un type entre dans un café. Il se pointe au bar et passe sa commande.

— Patron, sers donc une gueuze pour toi, une gueuze pour moi et une gueuze pour tous ceux qui sont derrière.

Le patron écarquilleles yeux. dans la salle il y a au moins cinquante personnes! Néanmoins il fait servir la tournée.

Le type prend sa gueuze et fait cul-sec.

— Patron ressers donc une gueuze pour toi, une gueuze pour moi et une gueuze pour tous ceux qui sont derrière.

Re cul-sec.

Ainsi il resert cinq ou six fois.

Au moment de payer, il n'a pas un rond sur lui!

Le patron fait le tour du bar, lui colle une raclée à un point que l'autre se retrouve à l'hosto dans tout en plâtre pendant six mois.

En sortant de l'hôpital la première chose qu'il fait est de retourner dans le café.

Le patron n'en croit pas ses yeux.

— Patron sers donc une gueuze pour moi et une gueuze pour tous ceux qui sont derrière.

Le patron le regarde droit dans les yeux et lui demande d'un air féroce:

— Et moi donc, je ne bois pas?

— Oh non! Toi t'es beaucoup trop méchant quand tu as bu.

* * *

Il est une heure du matin (один час ночи /утра/). Dans un bistrot (в кабаке/ресторанчике/), un ivrogne se décide enfin (один пьяница решается наконец) à rentrer chez lui (вернуться домой) après sa cuite quotidienne (после повседневной/ежедневной пьянки). Il quitte le comptoir (он покидает стойку бара), complètement ivre (совершенно пьяный), essaie de faire deux pas (пытается сделать два шага) pour s'effondre lamentablement sur le sol (чтобы упасть = и падает жалобно на пол):

— Bof, un peu d'air frais (пф! немного свежего воздуха; bof — пф!, нуичто!, подумаешь!, можетбыть/звук, возникающийпринадуваниищекипоследующемрезкомвыпусканиивоздуха/ — выражаетбезразличие, сомнение, пренебрежение/) me fera du bien (пойдет мне на пользу)! Il rampe jusqu'à la sortie (он ползет до выхода), s'agrippe au capot d'une voiture (хватается за капот автомобиля), se redresse (выпрямляется), essaie de faire encore un pas (пытается сделать еще один шаг) et s'écroule lamentablement (и плачевно обрушивается на землю):

— Bof, je vais ramper (я поползу) jusqu’à chez moi (до дома), c'est pas trop loin (это не слишком далеко). Il arrive à sa porte (он добирается до своей двери) et essaie de rentrer discrètement (и пытается войти незаметно) pour ne pas réveiller sa femme (чтобы не разбудить свою жену). Il s'accroche à la poignée (он цепляется за ручку /двери/), se hisse (поднимается), ouvre la porte (открывает дверь) en s'appuyant (опираясь), il essaie de marcher jusqu'à sa chambre (и пытается идти до своей комнаты) silencieusement (молчаливо, бесшумно) mais, après avoir fait un pas (но сделав шаг), il s'effond (он падает). Il rampe donc jusqu'au lit (итак, он доползает до своей постели) et s'endort d’un profond sommeil (и засыпает глубоким сном). Le lendemain (на следующий день), sa femme lui dit (его жена говорит ему) au réveil (при пробуждении):

— Toi, tu as encore passé ta soirée (ты опять провел вечер) au bistrot hier soir (в кабаке вчера).

— Mais comment le sais-tu (но откуда ты это знаешь)?

— Ils ont appelé ce matin (сегодня утром звонили) pour dire (чтобы сказать) que t'avais oublié ton fauteuil roulant (что ты забыл свое инвалидное кресло; t'avais = tu avais; rouler — катить(ся)).


Il est une heure du matin. Dans un bistrot, un ivrogne se décide enfin à rentrer chez lui après sa cuite quotidienne. Il quitte le comptoir, complètement ivre, essaie de faire deux pas pour s'effondre lamentablement sur le sol:

— Bof, un peu d'air frais me fera du bien! Il rampe jusqu'à la sortie, s'agrippe au capot d'une voiture, se redresse et essaie de faire un pas et s'écroule lamentablement:

— Bof, je vais ramper jusqu’a chez moi, c'est pas loin. Il arrive à sa porte et essaie de rentrer discrètement pour ne pas réveiller sa femme. Il s'accroche à la poignée, se hisse, ouvre la porte en s'appuyant dessus, il essaie de marcher jusqu'à sa chambre en restant silencieux mais, après avoir fait un pas, il s'effond. Il rampe donc jusqu'au lit et s'endort d un profond sommeil. Le lendemain, sa femme lui dit au réveil:

— Toi, tu as encore passé ta soirée au bistrot hier soir.

— Mais comment le sais-tu?

— Ils ont appelé ce matin pour dire que t'avais oublié ton fauteuil roulant.

* * *

Ça se passe dans une prison sud-américaine (дело происходит в одной южно-американской тюрьме) où sont emprisonnées (где находятся в заключении) trois nanas (три девушки; la nana — /разг./ женщина, баба; девушка), deux brunes et une blonde (две брюнетки и одна блондинка).

Elles sont condamnées à mort (они приговорены к смерти) donc (стало быть) elles vont être fusillées (их расстреляют) dans la cour de la prison (во дворе тюрьмы), une par une (одну за другой). Evidemment (очевидно, конечно) elles sont mortes de trouille (они умирают от страха) et évidemment elles éviteraient bien (и конечно же они бы избежали) le peloton d’exécution (подразделения, выделенного для проведения расстрела). Le curé qui vient les confesser (священник, который приходит их исповедать) prend pitié d'elles (сжаливается над ними) et leur confie (и рассказывает им; confier — доверять, поверять, рассказывать): "Les gens ont très peur (люди очень боятся) des catastrophes naturelles (природных катастроф) par ici (в этих краях /здесь/), ils pensent (они думают) que ce sont des punitions de Dieu (что это наказания Бога), alors servez-vous-en (итак, воспользуйтесь этим) au moment crucial (в решающий/критический момент)."

Le lendemain (на следующий день), la première brune est amenée dans la cour (первая брюнетка отведена во двор), attachée au Poteau (привязана к столбу) et lorsque le capitaine crie (и когда как командир кричит) "en joue (целься: «к щеке»)!", elle se souvient des paroles du cure (она вспоминает слова священника) et hurle "OURAGAN!!! (и выкрикивает УРАГАН)"

Les soldats s'enfuient affolés (солдаты, обезумевшие, убегают)…

La deuxième brune et la blonde voient ça (вторая брюнетка и блондинка видят это) depuis la fenêtre de leur cellule (из окошка их камеры) et sont très impressionnées (и очень впечатлены)! Le curé avait raison (священник был прав)! Ça marche (это срабатывает: «это идет»)!

Le lendemain (на следующий день), la seconde brune est amenée dans la cour (вторую брюнетку отведена во двор), attachée au poteau (привязана к столбу) et lorsque le capitaine crie (и когда командир кричит) "en joue (целься!)!”, elle se remémore la scène de la veille (она вспоминает сцену накануне) et hurle “CYCLONE!!! (и выкрикивает ЦИКЛОН)”.

Les soldats courent dans tous les sens (солдаты бегут во все стороны) pour s'abriter (чтобы укрыться) et elle en réchappe (и она вне опасности: «этого избегает»).

La blonde a assisté à tout cela de sa fenêtre (блондинка наблюдала за всем этим из окна; assister — присутствовать; быть свидетелем чего-либо) et a eu la confirmation (и имела подтверждение) que ça marchait (что все в порядке: «это шло»)! Elle a bien compris le truc (она хорошенько поняла эту уловку) et réfléchit à ce qu'elle pourra faire (и размышляла о том, что бы она могла сделать).

Le lendemain (на следующий день), elle est amenée dans la cour (ее ведут во двор), attachée au poteau (привязывают к столбу) et lorsque le capitaine crie (и когда командир кричит) "en joue (целься!)!”…

— "FEU!!! (ОГОНЬ)"


Ça se passe dans une prison sud-américaine où sont emprisonnées trois nanas, deux brunes et une blonde.

Elles sont condamnées à mort donc elles vont être fusillées dans la cour de la prison, une par une. Evidemment elles sont mortes de trouille et évidemment elles éviteraient bien le peloton d’exécution. Le curé qui vient les confesser prend pitié d'elles et leur confie: "Les gens ont très peur des catastrophes naturelles par ici, ils pensent que ce sont des punitions de Dieu, alors servez-vous-en au moment crucial."

Le lendemain, la première brune est amenée dans la cour, attachée au poteau et lorsque le capitaine crie "en joue!", elle se souvient des paroles du curé et hurle "OURAGAN!!!"

Les soldats s'enfuient affolés…

La deuxième brune et la blonde ont vu ça depuis la fenêtre de leur cellule et sont très impressionnées! Le curé avait raison! Ça marche!